
C’est par un froid de canard, zéro degré à 8h30, que plus d’une quarantaine d’autos se sont retrouvées sur le parking du Carrefour de Cahors, le dimanche 24 octobre 2021 pour la sortie Automne, qui sera suivi de l’Assemblée Générale de 2020. Cette assemblée n’avait pas pu avoir lieu en janvier par cause du Covid.
Daniel et Dominique avait concocté un parcours par des petites routes, Espère, Boissières, Saint-Denis Catus, Uzech les Oules, afin d’arrivée à Dégagnazès pour le casse-croûte du matin. Ensuite nous sommes allé nous promener vers le sanctuaire de verdure et visiter l’église Notre-Dame-de-la-Compassion. L’ancienne église du prieuré de grandmontains Notre-Dame, est une église catholique située à Dégagnazès, sur le territoire de la commune de Peyrilles. En 1235, Aymeric de Gourdon, seigneur de Peyrilles, et son épouse, Amagne, ont fait don à l’ordre de Grandmont, avec l’accord de l’évêque de Cahors, des terres à Dégagnazès pour y construire un monastère. Les moines de l’ordre de Grandmont se sont établis dans ce lieu retiré fait de bois, de landes et de marécages en 1237, transformant le lieu pour le rendre cultivable. On trouve dans l’église une des plus vieilles cloches de France, datée de l’établissement du prieuré, vers 1260. Le prieuré est réuni à celui de Francour, à Lafrançaise par le pape Jean XXII, en 1317. En 1679, une partie de la voûte de la nef de l’église s’effondre et le prieuré est abandonné. Les bâtiments conventuels sont en partie détruits. L’église est mise hors d’eau au XVIII e siècle pour abriter les statues. Elle est l’objet d’un programme pictural dans le chœur dédié à la Vierge Marie en remerciements des miracles reconnus par les populations locales. L’église est devenue paroissiale au XIXème siècle. À la fin du XIXème siècle la voûte de la nef est refaite, une nouvelle façade et un clocher sont édifiés à l’ouest. L’aile orientale des bâtiments conventuels du prieuré a été transformée en habitation privée en 1842. L’édifice a été inscrit au titre des monuments historiques le 10 juin 1926.
Puis nous repartions en direction de Casals en passant par Lavercantière, Dégagnac, Florimont-Gaumier où nous faisons une pause pour admirer la tour de Moncalou, 23 mètres de haut, et en haut une vue époustouflante à 360°. Elle a été érigée sur le site de vinification du vin de Domme et enfin nous reprenons la route pour rejoindre Cazals et le Musée-Ateliers des AQVM que les adhérents ainsi que leur Président Ludo nous ont très aimablement accueillis.
Après le discours de bienvenue de Georges et Patrick, c’est le pot de l’amitié des AQVA et AQVM avant le repas préparé par nos amis Jacques et Gisèle ainsi que Jean-Michel et Maryvonne. Tous les participants avaient amené des entrées et des desserts, convivialité réussie.
L’Assemblée Générale de 2020 débutera après le repas, le Président Georges entame le rapport moral ainsi que le compte rendu des activités, les sorties de 2020, les prévisions des sorties pour 2021, puis passe la parole au trésorier Paul pour le compte rendu financier de l’année 2020.
Suivront les questions diverses, effectif des grandes sorties, limitation à 50 personnes soit 25 voitures.
Les excédents financier des sorties resteront donc sur les comptes du Club, pour les besoins des restaurations et de l’entretien du matériel du club.
Juste un rappel le club possède :
– Autocar Citroën U23 découvrable de 1948
– Camion La Buire de 1918 avec sa roulotte
– Citroën C4 boulangère de 1934
– Peugeot 202 berline de 1949
– Renault 12 break de 1973
Tous les votes ont été adopté et le conseil d’administration ne change pas, donc le bureau reste à l’identique.
Le Président Georges clôt l’Assemblée Générale et nous donne rendez-vous pour la sortie-repas du club qui aura lieu le samedi 11 décembre 2021, avec peut être « la Ronde des Crèches ».